Un film de Christophe Gans
Durée : 2h30
Résumée :
Une créature erre déjà à Gévodan depuis près de deux ans. Une créature qui a peur des hommes, mais qui n'hésite pas à s'en prendre aux femmes et aux enfants. Le roi envoie donc le chevalier Grégoire de Fronsac s'occuper de cette affaire. Fronsac fait alors des découvertes plus surprenantes les unes que les autres. Qui sont réellement les nobles de Gévodan et quel est leur lien avec la Bête du Gévodan?
Une créature erre déjà à Gévodan depuis près de deux ans. Une créature qui a peur des hommes, mais qui n'hésite pas à s'en prendre aux femmes et aux enfants. Le roi envoie donc le chevalier Grégoire de Fronsac s'occuper de cette affaire. Fronsac fait alors des découvertes plus surprenantes les unes que les autres. Qui sont réellement les nobles de Gévodan et quel est leur lien avec la Bête du Gévodan?
La prise de vue en fonction du montage :
Surimpression (38min59) : La surimpression est souvent utilisée dans ce film. L'un des exemples est celui où le Chevalier et Marquis discute ensemble lors d'une soirée plutôt festive à l'extérieur puis une surimpression à lieu, laissant place au Chevalier, Marquis ainsi que Mani à cheval, se dirigeant vers une maison close.
La direction des regards (7min55 à 9min22) : Durant la conversation entre Grégoire de Fronsac et le marquis d'Apcher qui discute de la Bête de Gévodan, le premier recueillant des informations pour faire un portrait de la bête, nous pouvons voir la direction des regards est respectée et ce jusqu'à la fin. À leur côté se trouve Mani, compagnon du chevalier, ainsi que le petit-fils du marquis.
Le raccord de mouvement (23min40 à 26min20) : Dans cette scène, nous pouvons voir Mani qui affronte diverses personnes en même temps. Cependant, lors du combat, il y a plusieurs prises de vue ce qui fait qu'il y a eut un raccord de mouvement durant le montage pour que nous les voyons un à la suite de l'autre.
La coupure franche (1h00min50 à 1h01min01) : Lors de la première scène, nous pouvons voir Mani en train de faire respirer à une petite fille victime de la Bête de Gévodan une fumée provenant de son bracelet. Puis, après la coupure franche, nous voyons Fronsac en overhead shot qui se trouve dans un bureau.
L'entrée ou la sortie du cadre (1h22min45 à 1h22min50) : Fronsac se dirige vers le lieu de rendez-vous afin de retrouver Marianne. En premier, nous pouvons le voir sur son cheval dans ce qui pourrait ressembler à une plaine. Puis, après qu'il soit sorti du champ de la caméra, nous le voyons dans un village toujours à cheval, un signe qu'il a parcouru une certaine distance en peu de temps.
Critique :
Le pacte des loups est un bon film. Du point de vue de l'histoire, l'intrigue est toujours présente et, au fil du temps, nous pousse à le regarder jusqu'à la fin pour découvrir la vérité sur la Bête du Gévodan. Cependant, la fin est un peu longue, mais heureusement que j'étais curieuse de connaître la vérité derrière toute cette histoire. Du point de vue cinématographique, ce film possède de très bon plan de caméra. Il y a de nombreuses superpositions - probablement le premier film où j'en vois autant, mais également une belle fluidité entre les scènes.
La direction des regards (7min55 à 9min22) : Durant la conversation entre Grégoire de Fronsac et le marquis d'Apcher qui discute de la Bête de Gévodan, le premier recueillant des informations pour faire un portrait de la bête, nous pouvons voir la direction des regards est respectée et ce jusqu'à la fin. À leur côté se trouve Mani, compagnon du chevalier, ainsi que le petit-fils du marquis.
Le raccord de mouvement (23min40 à 26min20) : Dans cette scène, nous pouvons voir Mani qui affronte diverses personnes en même temps. Cependant, lors du combat, il y a plusieurs prises de vue ce qui fait qu'il y a eut un raccord de mouvement durant le montage pour que nous les voyons un à la suite de l'autre.
La coupure franche (1h00min50 à 1h01min01) : Lors de la première scène, nous pouvons voir Mani en train de faire respirer à une petite fille victime de la Bête de Gévodan une fumée provenant de son bracelet. Puis, après la coupure franche, nous voyons Fronsac en overhead shot qui se trouve dans un bureau.
L'entrée ou la sortie du cadre (1h22min45 à 1h22min50) : Fronsac se dirige vers le lieu de rendez-vous afin de retrouver Marianne. En premier, nous pouvons le voir sur son cheval dans ce qui pourrait ressembler à une plaine. Puis, après qu'il soit sorti du champ de la caméra, nous le voyons dans un village toujours à cheval, un signe qu'il a parcouru une certaine distance en peu de temps.
Critique :
Le pacte des loups est un bon film. Du point de vue de l'histoire, l'intrigue est toujours présente et, au fil du temps, nous pousse à le regarder jusqu'à la fin pour découvrir la vérité sur la Bête du Gévodan. Cependant, la fin est un peu longue, mais heureusement que j'étais curieuse de connaître la vérité derrière toute cette histoire. Du point de vue cinématographique, ce film possède de très bon plan de caméra. Il y a de nombreuses superpositions - probablement le premier film où j'en vois autant, mais également une belle fluidité entre les scènes.
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